L'UE pour discuter de l'aide grecque, Allemagne sceptique

L'UE pour discuter de l'aide grecque, Allemagne sceptique
Luke Baker
BRUXELLES
Lun. 15 mars 2010 8:15 HAE



Travailleurs sanitaires de protestation devant le bureau de comptables de la Grèce est contre les mesures d'austérité du gouvernement dans le centre d'Athènes Mars 10, 2010.



BRUXELLES (Reuters) - Les ministres des Finances de la zone euro le lundi se penchera sur la façon de donner à la Grèce une aide financière devrait-elle demander de l'aide, mais il y avait des signes France et l'Allemagne tendant à prendre des engagements concrets.

France | Allemagne

Une source de haut rang de l'UE a déclaré aux ministres Reuters discuterait de la possibilité de fournir des garanties de prêts ou de prêts bilatéraux pour aider à Athènes financer ses dettes en cas de besoin, mais ne dit pas de chiffre serait mis sur la quantité d'aide qui pourrait être prolongée.

Les 16 pays qui utilisent la monnaie unique euro ont fourni un solide appui verbale et politique de la Grèce depuis sa dette et des problèmes de déficit a explosé il ya trois mois, mais ont été incapables de s'entendre sur la nécessité d'une aide financière.

L'Allemagne, première économie européenne et le pays qui serait le pivot de tout soutien, est réticent à renflouer la Grèce, affirmant la priorité du pays doit être d'amener ses propres finances en ordre et faire les ajustements structurels profonds à maîtriser la dépense.

Les 16 ministres des Finances réunis à Bruxelles autour de 1700 (1600 GMT).

Les prix du marché pour la dette de la Grèce a pris le cœur de ses espoirs d'un engagement plus détaillée par la réunion, mais les analystes estiment l'incapacité de le faire pourrait provoquer plus de vente.

"Pas de décisions politiques seront prises,« un porte-parole du gouvernement allemand a annoncé lundi en référence à la réunion de l'Eurogroupe. Il a réitéré que la Grèce n'avait pas demandé de soutien financier et s'emploie à régler ses problèmes par elle-même.

La Grèce a dévoilé ce mois-ci une série de nouvelles mesures d'austérité, y compris couper les salaires du secteur public et d'augmenter les impôts, et un sondage publié dimanche a montré la plupart des Grecs pensent que c'est un pas dans la bonne direction, en dépit de provoquer des manifestations de rue.

Les mesures d'austérité et de soutien verbal de la zone euro ont contribué à alléger la prime de la Grèce doit offrir au détriment des obligations de référence allemand, qui cherche à refinancer environ 20 milliards d'euros de dette en Avril et Mai. Mais la propagation reste élevé et insoutenable, estiment des analystes.

Pour isoler davantage la Grèce contre les pressions du marché et la menace de défaut de paiement, qui ont entamé la valeur de l'euro, les ministres des Finances examinent quelles mesures pourraient être prises doivent Athènes l'incapacité de financer ses emprunts.

En vertu des règles de l'UE, ni le Bloc ni les Etats individu ne peut assumer les dettes d'autres pays, mais des garanties de prêt ou des mesures similaires reviendrait à contourner ces restrictions.

FRANCE NE VOIT PAS DE DÉCISION

Le ministre français de l'Economie Christine Lagarde a déclaré ce week-end, elle ne s'attend pas à ce chiffre pour l'aide qui sera annoncée.

«Je suis certainement s'attend pas à une décision soit prise, ou n'importe quel bouton est enfoncé, ou n'importe quel bouton être choisi pour être pressé, car il est totalement prématuré, at-elle déclaré à la presse samedi soir.

Elle a dit que la Grèce avait "rendu énormément" avec ses mesures d'austérité qui comprennent les réductions de dépenses promises égal à 2 pour cent du produit intérieur brut.

Allemagne, dont les banques sont parmi les plus gros propriétaires de la dette souveraine grecque, Athènes a été dit en prenant les bonnes mesures pour faire face à la crise et a déclaré qu'aucun accord sur l'aide financière était nécessaire.

Le samedi, au journal britannique Guardian, citant des sources comme disant réunion de lundi serait d'accord pour porter à 25 milliards d'euros de soutien disponible. Une source de haut rang de l'UE a dit que c'était pas sur la table.

«Je pense que nous devrions être en mesure de s'entendre sur les principes d'une installation de la zone euro pour l'aide coordonnée. Le pouvoir exécutif () Commission européenne et le groupe de travail de l'Eurogroupe aurait le mandat de finaliser le travail», a précisé la source.

Il a dit qu'ils seraient discuter des «principes et paramètres» d'une installation ou un mécanisme qui pourrait être activé en cas de besoin.

"Il faudrait un mécanisme de mise et vous auriez des espaces en blanc pour des nombres, car il n'y a pas eu de demande (de Grèce) pour le moment", a précisé la source.

Un peu plus de la moitié des 1008 personnes interrogées pour le Ethnows journal grec a déclaré la semaine dernière 4,8 milliards d'euros (6,6 milliards de dollars) paquet allé dans "la bonne direction», tandis que 41,9 pour cent a dit qu'il n'avait pas. Beaucoup ont dit les syndicats devraient modérer leur opposition.

Les dirigeants sont également inquiets des problèmes en Grèce pourrait en outre saper la confiance dans l'euro et la propagation à d'autres pays lourdement endettés zone euro comme le Portugal ou l'Espagne.

Le porte-parole du gouvernement allemand a déclaré la réunion de lundi serait également pas dans les détails du financement d'un Fonds monétaire européen, une idée qui a été proposée par Berlin comme une autre mesure pour aider à protéger les pays de la zone euro avec des troubles de la dette.

Discuter des réformes nécessaires pour consolider les règles du groupe, ministre des finances allemand, Wolfgang Schäuble a rappelé qu'elle devrait finalement être rendu possible, dans les cas extrêmes, pour un état de quitter la zone euro, si elle n'arrive pas à gérer ses finances.

"Nous avons besoin de règles plus strictes", at-il déclaré quotidien Bild. «Cela signifie que dans un cas extrême, la possibilité qu'un pays qui ne reçoit pas ses finances en ordre à toutes les feuilles du groupe euro. Une telle perspective à elle seule assurer un genre totalement différent de la discipline."

(Writing par Luke Baker, editing by Patrick Graham)