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comment coinçer la bulle financière et Empty comment coinçer la bulle financière et

4/1/2010, 1:35 pm
Posté par M8532876
comment coinçer la bulle financière et
le 04/01/10 09:36

Une institution financière qui gère l’argent d’un client ne gagne rien si ce dernier refuse d’investir et préfère du cash. C’est pour cela que les grands medias sont éternellement optimistes: il s’agit en effet de ramener les investisseurs vers la bourse de façon à générer des revenus pour l’ensemble des gestionnaires de fonds. D’autant qu’après une forte baisse, l’optimisme des experts, couplé à l’action grandissante de la Fed et des robots financiers (voir plus loin) finit par porter ses fruits. Une remontée boursière se produit et après quelques semaines, même les plus timides, se sentent attirés de peur d’arriver trop tard. Mais si cette remontée est déconnectée de la réalité économique, comme c’est le cas, tôt ou tard, une brutale correction devrait se produire.

Sans passer en revue les problèmes graves que j’ai décris dans de précédents articles (saisies immobilières en constante et forte progression, risque de faillites de certains Etats américains, crash de l’immobilier commercial et CMBS liés, reset des prêts Alt-A et « option ARM », asphyxie du financement à court terme par les papiers commerciaux, crise des cartes de crédit, camouflage comptable des pertes bancaires, incapacité des banques de prêter aux particuliers et PME dans un environnement où le risque crédit grandit chaque jour un peu plus…etc) on peut résumer la situation en quelques phrases. Que l’on regrette ou pas, l’économie américaine a été et reste encore, actuellement le moteur économique du monde. 70% de la croissance américaine est due à la consommation et pour consommer, le consommateur américain doit s’appuyer sur son salaire et sur sa carte de crédit. Le chômage explose, les salaires baissent. Les banques anticipant des pertes astronomiques et craignant un risque crédit grandissant refusent de prêter. Alors je pose deux simples questions: quelle nouvelle bulle la Fed pourrait-elle gonfler pour générer des revenus fictifs aux consommateurs et par conséquent comment ces derniers vont-t-ils recommencer à acheter « comme au bon vieux temps » ?

Le rôle néfaste de la Fed

Depuis le 6 mars 2009, les bourses sont reparties à la hausse suite à des « profits miraculeux » publiés par certaines banques. Dans un précédent article, j’ai évoqué le rôle trouble d’AIG, la perte de valeur des propres obligations émises par les banques et le changement de règles comptables pour générer ces revenus imaginaires. Profitant de cette « reprise » bon nombre d’institutions et d’entreprises ont demandé l’aide des banques (moyennant le paiement de juteuses « fees ») pour émettre des actions nouvelles et régénérer leur bilan. Ainsi le marché est convaincu que les banques vont mieux ; oublié le problème des prêts Alt-A et ARM et surtout celui de l’immobilier commercial et de ses CMBS (3000 mlds de USD) ! Les salaires ont chuté de 4.7% depuis juin 2008, soit la plus forte chute annuelle depuis que ces statistiques sont enregistrées et il y a un nombre record de 34 millions d’américains qui survivent grâce aux cartes d’alimentation distribuées par l’Etat. La faillite de la 77ème banque de l’année vient juste de vider les caisses de l’agence FDIC chargée d’assurer les dépôts des épargnants. Fannie Mae le géant du crédit hypothécaire qui a été « nationalisé » l’année dernière, vient encore d’annoncer que le gouvernement américain va devoir procéder à une nouvelle injection de capital de 10 mlds de USD pour éponger ses pertes. Pour gonfler le PIB, le gouvernement US est prêt à toutes les distributions d’argent comme le versement de primes pour acheter des voitures neuves. Mais l’argent ponctionné des contribuables par les taxes ne pourra plus être dépensé ou investi utilement par ceux-ci et pourquoi croire que les fonctionnaires du gouvernement pourront allouer efficacement les ressources. Le gouvernement japonais a vainement tenté de relancer son économie pendant 10 ans, alors, comment imaginer que les Américains y parviendront ? Selon l’économiste, David Rosenberg le PIB américain serait en recul de 8% au lieu de 1% au premier trimestre si le gouvernement n’avait pas autant dépensé, ni octroyé autant de soutiens financiers et de cadeaux fiscaux. A ce sujet, il est à noter que les revenus fiscaux américains sont sur le point de plonger de 18% cette l’année soit la plus forte chute depuis 1932 au cœur de la dépression. Que faut-il penser des déficits américains et aux intérêts de la dette publique de plus en plus lourds? Officiellement le gouvernement américain n’a aucun problème pour les financer, la demande en obligations gouvernementales reste forte et Bernanke peut compter sur les banques pour l’aider. Les taux directeurs de la Fed sont actuellement aux environs de 0.16% alors que les obligations gouvernementales US à 10 ans sont à 3.64%. Ceci incite les banques à emprunter à court terme, pour presque rien, afin de soutenir les emprunts du gouvernement Obama en achetant ses obligations et empocher un « sympathique » profit au passage.

C’est ainsi que la crise serait bientôt terminée et c’est la raison pour laquelle les bourses grimpent.

Toutefois, quand on creuse on voit que la bonne volonté des banques, l’aide des medias et le changement des règles comptables ne suffisent pas comme le révèle l’éditeur financier Chris Martenson.

Le 30 juillet dernier, le gouvernement américain se vantait d’avoir vendu 28 mlds d’obligations à 7 ans. Un soit disant beau succès, salué par la grande presse et montrant que le marché s’arrache les obligations « les plus sûres » du monde. Oui, sauf lorsqu’on apprend qu’une semaine après, lors d’une opération spéciale, la Fed en rachetait discrètement la moitié, en créant au passage 14 mlds de USD tout frais. Est-ce que les acheteurs savaient à l’avance qu’ils pourraient en revendre une partie à la Fed? D’ailleurs le site Zerohedge.com a complété l’étude en montrant qu’en 2009, 32% des montants achetés par les « primary dealers » sont revendus à la Fed dans les 10 jours! Ne serait-il pas plus honnête pour Bernanke d’acheter directement ces obligations au gouvernement américain en indiquant clairement qu’il paye avec des dollars sortis fraîchement de ses planches à billet?

De nombreux observateurs se sont étonnés de voir momentanément certains comportements étranges des marchés. Parmi ces observateurs, « Precision Capital Management » a mené une étude très intéressante liée à ces opérations spéciales de rachats par la Fed. Depuis mars 2009, la Fed a effectué auprès de dealers autorisés, plus de 42 opérations spéciales d’achats d’obligations gouvernementales ou de Freddie/Fannie pour des montants variant de 1.5 à 7.5 mlds de USD. Ces opérations se déroulent en fin de matinée et, coïncidence, plus de 42 fois exactement le même jour, le NYSE a vu une remontée spectaculaire lors des 45 dernières minutes avant la clôture. En dehors de ces jours spéciaux aucune flambée miraculeuse n’a été observée. Pour ceux qui ne croient pas aux coïncidences, on peut imaginer que ces dealers peuvent multiplier les montants ci-dessus par 100 ou 500 par effet de levier et utiliser ce cash pour propulser la bourse vers de nouveaux sommets.

Pourquoi Bernanke serait complice d’un tel scénario et quelles sont ses priorités ?
On se doute que sa première priorité est sa réélection à la tête de la Fed en janvier 2010. Néanmoins ce n’est pas gagné pour lui car progressivement les critiques montent à l’encontre de la banque centrale américaine et la manière dont elle dépense les milliards de USD. Pour preuve le succès que rencontre la proposition de loi pour auditer la Fed, émise par le parlementaire et ancien candidat à la présidentielle, Ron Paul (ennemi de toujours des banques centrales). D’ailleurs l’opinion publique américaine conteste de plus en plus les déficits abyssaux que le gouvernement Obama est en train de creuser (selon les projections du Bureau du budget du Congrès, il devrait dépasser la somme de 1.800 milliards de dollars, soit 13,1% du PIB, à la fin de l'exercice, le 30 septembre). Ceci alors que de plus en plus d’américains se tournent vers la frugalité. Ne sous-estimons d’ailleurs pas ce changement de mode de vie car il s’agit là d’une tendance de fond qui sera durable.

Mais indépendamment de répondre aux critiques, l’objectif de Bernanke est certainement de voir les taux longs au niveau le plus bas possible. En effet des taux longs élevés signifient que les acheteurs d’obligations gouvernementales se font rare ; que les risques d’inflation des prix augmentent ; que les taux hypothécaires grimpent et in fine que le USD risque de sombrer. De plus dans un environnement où les taux longs sont importants, les revenus futurs estimés et actualisés des entreprises sont moindres et donc la valorisation de ces entreprises est plus faible ce qui n’est pas favorable aux croissances boursières. Ainsi pour Bernanke, il faut absolument attirer l’argent vers les obligations gouvernementales quitte, à la limite, à le détourner de la bourse via un crash et une ruée vers la « sureté » des obligations gouvernementales. Par contre pour Obama qui veut mener des réformes majeures des soins de santé et convaincre ses électeurs que la situation s’améliore, il faut absolument que la bourse soit rayonnante. Et depuis mars 2009, le miracle se produit, la bourse grimpe et les taux longs restent contenus. Mais pour combien de temps encore ?
Le prix de l’or bridé
Depuis la parution en 1988, d’un rapport émis par les professeurs L. Summers (conseiller d’Obama et candidat pour remplacer Bernanke à la tête de la Fed) et Barsky, « Gibson’s Paradox and the Gold Standard » on sait que la Fed et le gouvernement américain tiennent le prix de l’or « à l’œil ». Ce document qui a fortement influencé les autorités américaines, démontre qu’une montée du prix de l’or est liée mécaniquement à une montée des taux longs. J’ai déjà évoqué dans de précédents articles comment et pourquoi le prix de l’or était bridé. Une dernière révélation vient encore de renforcer les thèses soutenues par l’association Gold Anti-Trust Action Committee (GATA) : les banques centrales sont déterminées à contenir le prix de l’or avec la complicité de certaines banques commerciales afin de maintenir les taux longs à des niveaux acceptables. Sauf que selon GATA ces banques centrales sont à court de cartouches. Le journaliste international, Max Keiser vient de découvrir que l’or de la Bundesbank, la banque centrale allemande (officiellement 3400 tonnes) était stockée à... New York ! Ceci recoupe une intéressante étude publiée par James Turk (éditeur de Freemarket Gold&Money Report) en 2001 et démontrant qu’entre 1995 et 2000, le ministère des finances US a probablement échangé (swappé) 1700 tonnes d’or avec la Bundesbank. L’or américain est devenu allemand et vis versa sans que le moindre gramme d’or n’ait physiquement quitté les coffres. Chaque fois, après ce changement de nationalité, le gouvernement américain a discrètement pu prêter à des banques commerciales, l’or (devenu américain) stocké à la Bundesbank. Le congrès américain étant incapable de découvrir cette subtile manœuvre et ces banques commerciales ont pu profiter de l’infâme gold carry trade pour brider le cours de l’or et engranger des profits . Comme tout porte à croire que la Bundesbank a prêté directement 1700 tonnes à ces mêmes banques cela expliquerait qu’il n’y ait aucun gramme d’or dans ses coffres et que 1700 tonnes d’or allemand soit stocké aux Etats-Unis!
es deux fonds ont déjà fait l’objet de nombreux articles dans le milieu de l’or et de l’argent visant à s’interroger sur la quantité de métal qu’ils contiennent réellement. Ainsi GLD aurait officiellement accumulé 1100 tonnes d’or en 5 ans sans que le prix de l’or n’explose. Il faut dire que les prospectus de ces fonds contribuent à entretenir le flou car étrangement ils stipulent que les autorités de marché n’ont pas vérifié leur validité (autrement dit ces prospectus peuvent vouloir dire n’importe quoi !). Chacun contient d’étranges passages mais je voudrais juste me concentrer sur GLD, le fonds permettant d’acheter de l’or papier. Le prospectus indique que cet or papier ne peut pas être converti en or physique et que le détenteur d’une action GLD n’a aucun moyen de vérifier s’il y a bien de l’or adossé! Seule la banque dépositaire (HSBC) peut le vérifier. Cette banque est autorisée à stocker l’or où bon lui semble et pire encore, le prospectus précise que l’or de GLD n’est pas gardé sur un compte séparé et soumis à ségrégation de HSBC et ne peut donc être clairement discerné de celui de HSBC.

Quel est le lien entre GLD et COMEX? A.Douglas a découvert une clause du règlement du COMEX (article 104.36) qui indique qu’un acheteur qui souhaite une livraison d’or sur le marché à terme peut recevoir une quantité d’actions GLD au lieu d’or physique. Et comme le décrit l’auteur, le vieux rêve des alchimistes de transmuter le plomb en or peut se réaliser en mieux : si GLD n’a pas vraiment tout l’or qu’il prétend avoir, c’est le papier qui est transformé en or. En effet dans ce cas, rien de plus simple pour brider le prix de l’or, il suffit d’imprimer des actions GLD (sans acheter l’équivalent en or physique) et de les donner aux clients qui souhaitent une livraison sur le COMEX. HSBC ne prendrait vraiment aucun risque avec ses gigantesques positions à découvert sur le marché à terme car ainsi le prix de l’or ne risque pas de grimper sur ce marché. Sauf si les investisseurs commencent à douter de GLD et exigent absolument de l’or physique en livraison sur le COMEX. Dans ce cas c’est la mort de GLD et un crash du marché à terme pour l’or, une explosion du cours de l’or sans précédent et une formidable perte pour HSBC. Mais en attendant ce cygne noir, le cours de l’or est contenu et Bernanke peut dormir tranquillement.
High Frequency Trading Program (HFTP)
J’introduisais ce sujet dans mon précédent article mais depuis lors il a fait l’objet de plusieurs publications dans la grande presse. Comme ce domaine est vaste et très complexe, on peut lire tout et n’importe quoi. Mais à mon avis, le meilleur site pour les lecteurs curieux souhaitant approfondir la question reste Zerohedge.com.
Pour rappel des programmes informatiques sont capables d’exécuter des millions d’ordres à la seconde et scannent simultanément des dizaines de marchés publics et privés. Ils identifient des tendances à la vitesse de l’éclair, ils peuvent tromper des investisseurs « normaux » en émettant des ordres et les annuler quasi instantanément. Moyennant le paiement d’une commission auprès d’une bourse, les programmes HFT opérant à partir d’ordinateurs situés au sein même des bourses (on parle de « colocation ») sont autorisés à scanner les ordres d’autres investisseurs avant que ceux-ci n’arrivent sur le marché. Ils peuvent alors faire du « flash trading » (qui est illégal) c.à.d. exploiter cette information avant les autres et placer un ordre gagnant. Pour les attirer et générer des volumes, les diverses bourses américaines versent en moyenne 0.25 cent pour une action achetée ou vendue comme récompense de la « liquidité » que ces HFTP offrent. Un robot achète une action et la revend une fraction de seconde plus tard et il empoche 0.5 cent. Multiplié par des millions d’actions tous les jours de la semaine cela génère un juteux revenu pour les propriétaires de ces programmes de HFT. La firme de recherche Tabb Group estime que l’année dernière, les HFTP ont généré 21 mlds de USD de profits. Cela semble être de la science fiction mais entre 50% et 70% des volumes d’achats et ventes sur le NYSE sont générés par ces algorithmes. C’est énorme!
Afin de bien illustrer le propos, la presse internet spécialisée a, le 15 juillet dernier, analysé le cas du fabricant de semi-conducteur Broadcom. La veille au soir, Intel le géant des processeurs avait rapporté des résultats très positifs ce qui laissait présager une montée des cours du secteur. Les investisseurs “humains” avaient décidé d’en profiter selon la stratégie classique: acheter à l’ouverture par petits paquets afin de ne pas provoquer une brutale flambée des cours et revendre ensuite lorsque les cours auraient bien progressé. Hélas, c’était sans compter sur les HFTP prédateurs. Une seconde après l’ouverture, le cours de Broadcom est à 26.2 USD; 0.03 seconde plus tard les HFTP ont déjà scanné les ordres des investisseurs “humains” avant le reste du marché et 0.47 seconde après, les HFTP confirment que les investisseurs “humains” souhaitent sérieusement acheter du Broadcom. Ils lancent alors la machine, en l’occurrence les « automatic market maker » qui émettent des milliers d’ordres par petits paquets qu’ils annulent aussitôt quelques millisecondes plus tard. Le but de la manœuvre: voir jusqu’où les “humains” sont prêt à aller pour acheter du Broadcom. Ils déterminent que la limite est à 26.4 USD. Immédiatement après ils achètent toutes les actions Broadcom disponibles sur le marché et les revendent aux « humains » qui n’ayant pas été assez rapide, ne pourront plus en trouver et seront bien obligés de payer le prix fort (26.39 USD). Le résultat est que les “humains” ont payé 1.4 millions de USD pour 56000 actions soit 7800 USD de plus que s’ils avaient été aussi rapide que les HFTP. Et c’est ce que font les HFTP tous les jours avec des milliers d’actions.
Pour le lecteur qui découvre cette chronique: bienvenu dans la finance moderne qui est de plus en plus déconnectée de la réalité économique.

Le sujet est remonté à la surface car de nombreux observateurs se sont demandés comment Goldman Sachs a pu générer des revenus fantastiques de ses placements financiers aussi vite après le crash de Lehman. Et le feuilleton du programmeur Aleynikov qui aurait volé un programme de HFT de cette même banque et qu’un juge (J.Facciponte) a accusé de vouloir utiliser ce programme pour manipuler injustement les marchés, n’a fait que rajouter de l’huile sur le feu. Goldman Sachs est régulièrement pointée du doigt : sa participation très privilégiée dans le programme informatique spécial de liquidité (SLP) sur le NYSE monopoliserait la liquidité et chasserait les autres participants. Pour les défenseurs du HFT les robots financiers rendent de grands services car ils augmentent la liquidité et éliminent les positions d’arbitrage et donc déterminent le « juste » prix d’une action. Pour eux, nous vivons dans l’ère de l’informatique et tant pis pour les « dinosaures » qui ne l’ont pas encore compris!

Mais les détracteurs estiment, eux, que ces programmes HFT n’offrent pas de liquidité mais seulement des volumes d’achats et de ventes. La liquidité que les HFTP génèrent est artificielle car elle consiste simplement à répondre à des ordres émis par d’autres programmes. Si suite à un cygne noir, ces HFTP devaient décrocher, les investisseurs “humains” se retrouveraient soudainement, sans y être préparés, dans un marché où les volumes seraient réduits de plus de la moitié ce qui entrainerait une flambée des spreads. Et c’est là l’argument principal contre les HFT.
Etude de Pascal Roussel de la BEI


http://www.boursorama.com/forum-cac-40-comment-coincer-la-bulle-financiere-et-394644148-1?id_message=394654134
Anonymous
shadok1
Invité

comment coinçer la bulle financière et Empty Re: comment coinçer la bulle financière et

6/1/2010, 1:13 am
l'article complet se trouve ici ..il comporte d'autres informations extrêmement intéressantes et parfaitement documentées :
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