Proposition d' Obama : régulation bancaire

Obama propose de nouvelles limites à la négociation des grandes banques à risque
Les banques commerciales pourraient être interdits de posséder des fonds spéculatifs, des magasins de rachat

Par Ronald D. Orol, MarketWatch

WASHINGTON (Reuters) - Dans sa réponse les plus difficiles encore à la crise financière, le président Barack Obama a proposé jeudi que des limites strictes soient imposées sur la taille et les activités commerciales des plus grandes banques du pays.

"Si le système financier est beaucoup plus fort aujourd'hui qu'il ne l'a été une année il ya un an, il fonctionne toujours en vertu des règles précises qui ont conduit à son effondrement proche", a déclaré le président Barack Obama à la Maison Blanche.

"Ma détermination à réformer le système n'est que renforcée lorsque je vois un retour aux anciennes pratiques à certaines des entreprises de très combats de réforme, et quand je vois des profits records à certaines des entreprises de très prétendant qu'ils ne peuvent pas prêter davantage aux petites entreprises, ne peuvent pas maintenir les taux de carte de crédit est faible, et ne peut pas rembourser les contribuables pour le sauvetage. C'est exactement ce genre d'irresponsabilité qui rend la réforme claire est nécessaire ", a ajouté Obama.

La proposition vise à dissuader les banques commerciales ne deviennent si importantes qu'elles ont mis l'économie en général à risque et à fausser la normale forces de la concurrence

Nouvelles Hub: la Maison Blanche à la taille limite de banques

La Maison Blanche est de signalisation qui ils veulent limiter la taille des banques, pour éviter les subventions des contribuables futurs, le Hub panneau Nouvelles discute.

. Elle pourrait aussi exiger certaines grandes banques pour retirer les fonds de couverture, les investissements de capitaux privés et propriétaires des unités bancaires d'opérations sur valeurs afin qu'elles puissent continuer à opérer comme des banques commerciales.

La proposition a été soutenue par l'ancien président de la Réserve fédérale Paul Volcker, qui préside le comité consultatif économique de M. Obama. Volcker a appelé les législateurs à rétablir Glass-Steagall Act - une loi approuvée en 1933 qui interdit à une banque commerciale avec les petits épargnants de l'activité des banques d'investissement comme la possession de cabinets de courtage à service complet.

Cependant, la proposition Obama ne va pas aussi loin que exhortations Volcker pour briser les banques. Elle impose des restrictions sur les banques commerciales afin de les empêcher d'utiliser les dépôts assurés par le gouvernement fédéral pour financer l'activité spéculative ou risqué de banque d'investissement, y compris les opérations pour compte propre de leurs propres comptes tels que les titres adossés à des créances hypothécaires. L'emballage et du négoce de titres hypothécaires sont considérés comme essentiels à la crise qui a secoué l'économie à la limite de 2008.

Les banques commerciales pourraient continuer à s'engager dans des opérations aussi longtemps ils pourraient montrer aux autorités réglementaires qu'ils le font pour leurs clients, et non leurs propres comptes propriétaires. Un fonctionnaire de l'administration Obama a dit qu'il n'est pas approprié pour les grandes institutions à faire de négociation exclusive de leurs propres comptes en même temps car ils ont accès à un filet de sécurité suffisamment large offre aux banques commerciales avec les déposants.

"Cette proposition dit que vous pouvez choisir de s'engager dans la négociation pour compte propre pour notre propre compte, ou vous pouvez choisir de posséder une banque commerciale", a déclaré un haut responsable gouvernemental. "Etes-vous faire de négociation exclusive pour votre propre compte ou allez-vous être une banque qui s'engage dans des activités commerciales traditionnelles?

La proposition de la Maison Blanche interdit également les banques commerciales de posséder ou d'investir dans les hedge funds ou de posséder, d'investissement ou de conseiller les fonds de private equity.

Les principales banques qui seraient couverts par la restriction proposée comprennent Citigroup Inc / quotes/comstock/13 *! c/ devis / nls / c (C 3.27, -0.19, -5.49%) , Bank of America Corp / quotes/comstock/13 *! bac/ devis / nls / BAC (BAC 15.42, -0.05, -0.32%) , J. P. Morgan Chase / quotes/comstock/13 *! JPM/ devis / nls / JPM (JPM 41.21, +0.67, +1.66%) , Wells Fargo Co. / quotes/comstock/13 *! WFC/ devis / nls / CFM (WFC 28.04, +0.04, +0.14%) .

Banques d'investissement traditionnelles telles que Goldman Sachs Group Inc / * quotes/comstock/13 GS!/ devis / nls / gs (GS 160.40, -0.76, -0.47%) et Morgan Stanley / * quotes/comstock/13 ms!/ devis / nls / ms (MS 29.34, -1.29, -4.21%) pourrait avoir besoin de renoncer à leur statut de banques commerciales à poursuivre son activité patrimoniaux des titres hypothécaires.

Alors que la crise s'est creusé fin 2008, les grandes banques d'investissement se précipita pour vous inscrire en tant que banques commerciales avec la Réserve fédérale, en partie, afin qu'ils puissent avoir accès à un réseau plus vaste de la sécurité ainsi que les promos de prêt de la banque centrale.

Pour continuer d'avoir accès à ce que les emprunts de filet de sécurité et actualisés, Goldman devrait céder sa Private Equity et de couverture des activités de fonds aussi bien qu'à limiter ses opérations pour compte propre, basée sur la proposition. Lisez à propos de la façon dont la proposition d'Obama serait l'impact de Goldman Sachs.

Un fonctionnaire de l'administration a déclaré que la Maison Blanche n'ont pas discuté de la proposition avec le secteur bancaire avant de le rendre public.

La Maison Blanche propose également de créer un plafond à l'échelle nationale sur certains placements à risque qui serait fondée, en partie, sur un plafond de 10% sur les dépôts à l'échelle nationale qui a été mis en place en 1994. Congrès interdit aux banques d'acquérir des institutions qui se traduirait par la banque acquéreuse détenant plus de 10% des dépôts bancaires américains.

Obama cherche à ce que le Congrès sont les interdictions qu'il propose dans le cadre des législateurs banque vaste réforme de la législation envisagez. Responsables de l'Administration sommes en discussion avec le président du Comité bancaire du Sénat Christopher Dodd, D-Conn., Et House Financial Services Committee Chairman Barney Frank, un démocrate du Massachusetts, sur la législation. Dodd a dit qu'il va étudier la proposition, tandis que Frank a dit qu'il serait favorable de celui-ci aussi longtemps que les cessions de fonds de couverture et des investissements dans le private equity ne sont pas nécessaires immédiatement.

«Je serai favorable à cela avec un délai d'au moins 3 ou 5 ans avant qu'il est fait", a déclaré Frank sur CNBC TV. «Pour avoir toutes ces ventes de fonds de couverture dans le même temps serait une vente de feu, et je ne peux pas appuyer cela."

Sur la base de la proposition, seules les banques commerciales qui ne font pas de négociation exclusive sur leurs propres comptes auraient accès à guichet d'escompte de la Réserve fédérale, un gouvernement facilité de prêt à travers lequel les banques d'emprunter des réserves à un rabais.

Peter Schiff, président de la firme de courtage Euro Pacific Capital et un candidat au Sénat dans le Connecticut, soutient que si les propositions deviennent loi, il aurait pour effet de forcer certaines grandes institutions financières qui en détiennent les deux banques commerciales et banques d'investissement de se séparer.

Il fait valoir que Bank of America Corp / quotes/comstock/13 *! bac/ devis / nls / BAC (BAC 15.42, -0.05, -0.32%) acquisition de Merrill Lynch mai doivent être inversées si les propositions deviennent loi.

«Opérations pour compte propre est de savoir comment Wall Street fait de l'argent, pas de services de courtage pour aider des tiers", a dit Schiff. «Faut-il être inscrites dans la loi elle les force [Bank of America-Merrill] pour séparer parce qu'elle rend la fusion tout préjudiciable aux actionnaires."

La mesure vise à étendre sur une disposition approuvée dans le cadre de la législation qui se passait à la Chambre en Décembre qui donnerait l'autorité de réglementation bancaire de limiter le type d'échange une banque peut exercer à défaut de représentants du gouvernement estiment qu'il est trop risqué. Un haut responsable gouvernemental a déclaré qu'au lieu de donner l'autorité de réglementation, cette mesure obligerait à imposer des interdictions de négociation pour compte propre des banques commerciales.

Christopher Whalen, directeur au niveau institutionnel Risk Analytics à Torrance, Californie, a indiqué un cap similaire à la limite sur une banque de détenir plus de 10% des dépôts à l'échelle nationale permet de sens. Il fait valoir que peut-être une banque ne devrait pas être en mesure de détenir plus de 10% du montant total de l'actif du secteur bancaire américain - les dépôts et autres investissements.

«Je voudrais ajouter l'actif total du secteur aux activités de titrisation et l'utilisation ainsi que comme base pour toute la PAC sur l'actif total," Whalen dit.

La proposition de la Maison Blanche intervient alors que Obama et des démocrates a connu un revers important mardi quand républicain Scott Brown a remporté une victoire éclatante dans le Massachusetts Sénat élection spéciale. Brown Martha Coakley défait dans la course pour occuper le siège de feu le sénateur Edward Kennedy's.

Législateurs républicains ont réagi à la proposition avec inquiétude, estimant qu'il s'agit d'une tentative par l'administration Obama de changer de sujet après l'élection du Massachusetts.

«Cet accent renouvelé sur la réforme des services financiers par l'administration Obama est clairement une tentative transparente au populisme de faux-, à la lumière des résultats de la course Sénat du Massachusetts," a dit le représentant Scott Garrett, RN.J. "Le peuple américain a rejeté l'expansion du gouvernement extrêmes dans le secteur privé, que ce soit dans les soins de santé, les services financiers ou l'industrie automobile."

Steve Bartlett, président de la Financial Services Roundtable, une association de grandes institutions financières, a déclaré la proposition de «restreindre les prêts, le risque augmente, diminue la stabilité dans le système, et de limiter notre capacité d'aider à créer des emplois."

Ronald D. Orol est journaliste MarketWatch, basé à Washington.