Autres options.

Il semble donc que les dettes soient créées par une sorte de pool.
Ses dettes s'accroissent et la perspective de parvenir à les rembourser est une douce chimère : le principe de la poursuite de création de dette semble bien ancré. Donc, poursuivre l'endettement afin de rembourser de plus en plus d'intérêts : le capital emprunté n'est donc plus injecté dans l'économie ?
Quelle issue ?
Comme il existe une association de fait, une connivence entre créancier et débiteur étatique, l'un tenant l'autre, avec son assentiment actif (il poursuit les emprunts en gageant le pays qu'il dirige) il semblerait qu'il n'y ait pas de solution de ce côté là.
Par contre, la population consciente, avertie, qui veut participer à la gestion de son pays pas impliquée directement dans les décisions, mais se trouve ô combien concernée a tout intérêt à prendre les choses en mains. Y compris de manière autoritaire afin de casser ce système.
Ça c'est déjà fait dans le passé...

L'objectif est de détruire cette mécanique.
Bien sûr, il y aura TOUT à refaire. Donc désordres, troubles, etc.
Mais au bout, la chance de pouvoir installer des bases économiques et politiques un peu plus saines que celles dont nous sommes victimes.
L'autre solution : râler, rouspéter, manifester, ne sert à rien, sinon à valider un système qui nous fait construire un legs prodigieusement pourri pour nos enfants et nos petits-enfants et nous donner bonne conscience.