Problèmes de dette, re-émerger Dubaï

SAN FRANCISCO (Dow Jones) - Les préoccupations de la dette ré-émergé Dubaï vendredi, alors que le coût de protection contre une défaillance de l'émirat du Golfe persique a grimpé au plus haut niveau depuis Novembre, selon les données de Markit fournisseur.


Le prix des swaps sur défaillance de crédit à Dubaï de la dette publique a bondi à 630 points de base le vendredi, en hausse de 592 le jeudi, les données de Markit spectacle. Ces prix ont été dernier CDS-dessus de la marque 630-point le 27 novembre, quand ils négocient à 634 points de base.

Tard hier Novembre, les investisseurs ont craint que l'Etat conglomérat Dubai World et sa propriété de Nakheel, l'unité de développement ne pouvait pas satisfaire aux obligations de la dette imminente. Dubai World dit à l'époque qu'il ne voulait pas payer d'intérêt avant Mai où il tentait de rallier plus de 20 milliards de dollars de dette.

CDS prix a baissé après Abou Dhabi, Dubaï a prêté 10 milliards de dollars pour faciliter le manque de liquidités. Lisez à propos du plan de sauvetage.

Cependant, les grandes préoccupations de dette souveraine ont augmenté au cours des dernières semaines que la Grèce aux prises avec un important déficit budgétaire et la flambée des coûts d'emprunt. Lisez à propos de problèmes de la Grèce.

Credit-default swaps sont un type commun du contrat de dérivés qui, comme son nom l'indique, verser en cas de défaut. Lorsque les prix des credit-default swaps hausse, qui suggère que les investisseurs sont plus inquiets et plus disposés à payer pour la protection contre les défauts de paiement.

CDS cité à 630 points de base désigne un investisseur d'acheter 10 millions de dollars de protection pour cinq ans doit payer 630.000 dollars par an.

Dubai World a des dettes d'environ 60 milliards de dollars, accumulé au cours d'un investissement immobilier et le développement hyperphagie pendant le boom du crédit de la décennie précédente. Nakheel de la société et ses filiales sont illimitées le promoteur et investisseur derrière la célèbre Palm Jumeirah, un palmier en forme, île artificielle dans le golfe Persique.

Lorsque la crise financière a frappé en 2008, la valeur de ces développements comme affaissé et Nakheel retardé de nombreux projets indéfiniment, car la demande est caduque. Cela rend difficile pour l'entreprise de verser 3,52 milliards de dollars qui devait être présenté en Décembre sur un de ses sukuk, ou obligations islamiques.

Après Abou Dhabi, Dubaï a prêté 10 milliards de dollars, le sukuk a été remboursé en totalité. Cependant, il ya beaucoup d'autres titres de créance Dubai World qui doit être remboursé ou refinancés.

Sur les 10 milliards de dollars d'Abou Dhabi, 4,1 milliards de dollars a servi à rembourser les Soukouk de Nakheel, tandis que le reste est utilisé pour financer les obligations de Dubai World, jusqu'à la fin du mois d'avril 2010.

Dubaï World s'est entretenu avec ses banques créancières, le 20 décembre pour discuter de ses plans de restructuration. Environ 100 banques ont envoyé des délégués, selon le Times de Londres. Voir l'exposition de la banque à Dubaï.

"Dubaï World s'est engagée à travailler en étroite collaboration avec le Comité de coordination de la banque d'œuvrer à une solution consensuelle pour le bénéfice de toutes les banques de prêt, les créanciers commerciaux et les autres intervenants touchés par la restructuration", a indiqué la compagnie dans un communiqué le 20 décembre.

Un porte-parole Dubai World refusé à tout commentaire vendredi.

Alistair Barr est un reporter de MarketWatch à San Francisco.